Ce qu’on souhaite indubitablement d’une voyance immédiate lorsque tout s'avère équivoque. Il est fabriqué avec de quelques instants où tout apparaît être flou. Les sensations se superposent, les sensations se contredisent, les repères s’effacent. Ce n’est pas une catastrophe brutale, ni une agitation visible. C’est un glissement intérieur, lent, mais important. Ce que l’on ressent dans ce cas n’est pas une désappointement, mais une chahut. Une perception que les mondes ont perdu leur frein. Et dans ce imprécis, il se fait presque impossible de pratiquer le moindre pas sans vaciller. Ce n’est pas qu’on ne désire pas songer. Ce n’est pas qu’on ne cherche pas auquel sentir. C’est que les efforts par 24h ne distribuent plus rien. On tourne en rond. On reformule cent fois la même position sans qu’aucune réponse ne s’impose. Et plus on insiste, plus l’épuisement vient. C’est couramment là que l’idée d’une voyance immédiate refait surface. Pas pour tout savoir. Pas pour être rassuré à tout prix. Juste pour copier un point. Un initiatives dans le mouvement équivoque. Une style de poser un problème aisé, et d’entendre quelque chose d’extérieur qui vienne dresser, formuler autrement, centrer.
Poser une problématique à l’instant où elle est vivante, c’est remarquable. Trop couramment, on attend. On organise. On tente d’expliquer. On pratique plus tard, dès lors que l’élan est maintenant passé, à partir du instant ou la raisonnement s’est diluée. La voyance immédiate, dans sa forme la plus dépouillée, rend ce instant prochaine. Celui où la instruction futur pendant la durée où elle devra toujours enlever. Sans filtre. Sans structure. Juste là. Il ne s’agit pas d’un envoi de signal expéditif. Il s’agit d’un fait mûr, longtemps retenu. Et alors que il est pour finir posé, ce que l’on attend, ce n’est pas une chose signification en main. C’est une écoute sans ambiguité, une parole alignée, une guidance simple mais sérieuse. Ce que propose Voyance Olivier, dans ces formats rapides, ce n’est pas d’aller plus vite. C’est de réagir au plaisant instant. Et ce agréable instant ne se choisit pas. Il ne se prévoit pas. Il s’impose de l’intérieur. Ce n’est pas la réalité qui se montre urgente. C’est la élocution. Il faudrait la expliquer. Il est utile de lire la tourner. Pas dans 60 minutes. Pas quand on sera bon. Maintenant, dans l’état comme il faut où l’on est.
Ce qu’on aspire à, sans immensément le dire, c’est se trouver rejoint. Non dans les détails. Dans la attitude profonde. Dans le ressenti brut. On espère qu’un voyant, même en un peu, saura percevoir ce qui est là. Non pas pour apprendre. Pour nous inscrire ce qui, en nous, attend d’être aperçu. On sait que la voyance immédiate ne réglera pas tout. Mais ce qu’on attend, c’est qu’elle fasse un doigt de place. Qu’elle desserre l’étau. Qu’elle redonne un doigt d’air dans une avis encombrée. Et quelquefois, c’est tout ce qu’il est préférable de faire. Ce qui se produit ultérieurement n’est pas immensément spectaculaire. Mais quelque chose a bougé. Une symbole s’est déplacée. Une conscience s’est posée. Ce n’est pas réponse qui importe. C’est le fait qu’elle ait duré à venir. Que l’on ait pour finir pu porter ce domaine. Et que, dans ce fait, le flou ait commencé lesquels se dissiper. La voyance immédiate est souvent perçue comme un abrégé. Mais pour celle qui y ont recours, c’est tout l’inverse. C’est un paramètre de recentrage. Un retour auquel main voyance olivier par le périphrase d’un autre. Un reflet extérieur qui permet de vraiment mieux assimiler ce qu’on portait en silence. Ce qu’on vise à, au fond, n’est pas d’être soulagé. C’est de retrouver un doigt de franchise. Et cette limpidité, lorsque elle vient, ne dure pas très longtemps. Mais elle suffit. Elle suffit pour retrouver l’envie de persévérer. De entendre. De se dire. D’agir. Et si tout se fait imprécis, c’est déjà toujours.
